Catégorique, Béatrice Sorrieul n’y va pas par quatre chemins : « Nous n’aurions jamais été aussi loin sans OSO-AI. Grâce à leur système d’écoute, nous avons pu nous projeter sur un projet bien plus ambitieux que prévu. » La cadre de santé supérieure au centre hospitalier universitaire (CHU) de Brest mentionne là le quartier qui doit sortir de terre d’ici 2029 à Bohars. « Un grand projet architectural avec une douzaine de maisons de plain-pied qui pourront accueillir sept résidents chacune, des immeubles, des espaces verts… », dépeint-elle. Un quartier finalement où les gens pourront vivre - presque - comme chez eux accompagnés par des soignants. « Sans OSO-AI, on ne l’aurait jamais fait comme ça parce qu’il aurait fallu deux fois plus de professionnels de santé pour s’occuper correctement des résidents ».